Brunner,
Convention de Bâle,
Convivialité,
DEEE,
Orwell,
Reagan,
Tchatcher,
Turing,
accélération,
biotechnologies,
boycott,
capitalisme,
chronopolitique,
communauté,
crime,
croissance,
cuistre,
cybernétique,
design,
dispositif,
diététique de la déconnexion,
doudou,
dromosphère,
dystopie,
décroissance,
désobéissance civile,
esclavage,
fablab,
fichage,
géolocalisation,
hétéronomie,
inadaptation,
industrie,
insoutenable,
institution,
liquidité,
luddisme,
mathématiques,
militaire,
mobile,
mode de production,
mode de vie,
modernité,
nanotechnologies,
nomade,
nucléaire,
néolibéralisme,
objet transitionnel,
obsolescence,
ordinateur,
outil,
piqueteros,
politique,
politique de pression,
pollution,
post-modernité,
profanation,
propriété intellectuelle,
ringard,
révolution industrielle,
sit-in,
société du contrôle,
société du spectacle,
surveillance,
technique,
technologie,
technoscience,
travail,
téléphone portable,
télétravail,
uranium,
usure,
von Neumann,
économie,
énergie,
éolien« Le néolibéralisme est une doctrine économique de la globalisation et de la privatisation qui s'appuie sur des régimes sécuritaires et policiers. Il est devenu majoritaire quand Margaret Thatcher et Ronald Reagan vinrent au pouvoir en 1979 et 1980. Accompagnant la privatisation et la propagande néolibérale, se sont installé aussi leur pendant idéologique, le néo conservatisme, qui nourrit la police et le militarisme. L'esthétique dominante de la période fur le post-modernisme, un style caractérisé par l'ironie, l'éclectisme, la vitesse, une subjectivité épistémologique qui le rendait incompatible avec une "politique de l'identité", et le refus de voir une unité dans l'histoire. »
Peter Linebaugh, histoire des communs : l'ombre portée de la grande charte in libres savoirs, Caen, 2011, page 268